Si l'on ne peut manquer de rendre hommage aux poilus de 14-18, ce ne peut être qu'un hommage fraternel antimilitariste, en fidélité au cri de la Chanson de Craonne : chanson de Marc Ogeret.
Adieu la vie, adieu l'amourCette chanson prend toute sa résonance lorsqu'on constate la répartition des victimes par âge (« Le Monde » du 10 novembre 2018).
Alors, merde aux illustres galonnés (l'infâme Pétain et tous les autres, Foch, Joffre, Nivelle, Mangin etc. y compris le boucher anglais Douglas Haig et leurs homologues en nullité militaire et humaine de l'autre camp), incompétents notoires qui ont fait leur gloire avec la peau des autres et admirons ces dignes monuments aux morts d'Equerdreville (Manche), de Gentioux-Pigerolles (Creuse), de Saint Martin d'Estréaux et leur inscription "Maudite soit la guerre" et de tous les autres déclarant la guerre à la guerre.
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