En 1945, au procès de Nuremberg, les principaux chefs nazis furent jugés par la communauté internationale pour les crimes abominables qu’ils avaient commis contre les populations des pays occupés. Ils ont dû répondre des crimes contre les résistants, les juifs, les tziganes, les homosexuels enfin de toutes leurs exactions contre tous ceux qui étaient quantité négligeable à leurs yeux. On se disait alors que c’était la fin du cauchemar et que rien ne serait jamais plus pareil.
Plus de cinquante ans après, les barbares sont de retour. Ils se nomment, Trump, Bolsonaro, Salvini.
Ces trois clones d’Adolf se targuent de mettre l’humanité en coupe réglée, au plus grand profit des multinationales, au mépris de l’avenir des femmes et des hommes de cette planète. Le « vieux beau » américain affirme sa volonté d’enfermer les enfants d’immigrés illégaux de façon illimitée dans le but de flatter les plus bas instincts de certains américains et de s’attirer la sympathie et le soutien des « suprémacistes » blancs. Il brandit la menace de guerre contre ceux qui n’acceptent pas la « lex américana ». Il soutient son complice brésilien qui encourage la destruction de l’Amazonie, poumon de la planète et chasse les populations autochtones par la force. Enfin, il se congratule avec le pantin italien, admirateur de Mussolini et grand pourvoyeur de « noyés » en Méditerranée.
Karl Marx a écrit que « le capitalisme asservit l’homme et détruit la nature ». On peut rajouter celle de Jaurès affirmant que « le capitalisme porte la guerre comme les nuées portent l’orage ». Car tel est bien ce que font ces criminels pour lesquels les humains, comme la nature, ne sont que des sources de profit et d’exploitation, quitte à les détruire l’une comme les autres. Et ce ne sont pas les rodomontades de Macron qui y feront quoi que ce soit, lui qui portait aux nues le Mercosur hier et qui aujourd’hui le rejette par opportunisme suite aux insultes proférées par le « petit Salazar » de Rio de Janeiro. Seule la mobilisation des peuples de la planète pourra contrecarrer leurs politiques criminelles, avant qu’il ne soit trop tard.
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