J'ai cessé de publier des articles sur ce sujet. Je pense qu'il faut laisser les communistes réfléchir sans la pression, qu'elle soit extérieure ou intérieure.
Les enjeux sont assez clairs, les risques évalués, la volonté de retrouver les bases d'une expression comprise dans un mouvement populaire tel qu'il est aujourd'hui et non tel qu'il était il y a trente ans.
Tout cela, quelles que soient les décisions prises, peut faire rêver d'une autre gauche demain dans laquelle les communistes compteront et se sentiront à l'aise. Les fièvres de dernière heure et les diverses litanies de la peur ne changent rien au fait que le PCF doit comme souvent trancher et se tenir à ses engagements.
La pression est forte. Raison de plus pour ne pas hésiter. Reste aux militants, comme moi, à confirmer ou non ce goût du risque qui nous a tant manqué depuis de nombreuses années.
Yvon Huet
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