Les dernières élucubration de sieur Montebourg dont je ne répéterai pas l'extrême débilité me font penser que, décidément, la 5e République arrive à bout de souffle au point de transformer des gens qu'on aurait cru au moins normaux en guignols de foire. Cela me convainc encore plus que la meilleure façon de se prémunir contre la décadence en cours est bien de relever le niveau du débat politique.
C'est l'essentiel intérêt de la campagne que je soutiens, celle de Fabien Roussel, parce qu'elle remet les pendules à l'heure sur les sujets brûlants d'une société assiégée par de multiples crises, l'économique, la politique, la mentale, avec toutes les conséquences qui mettent des millions de nos concitoyens hors jeu et en désespérance.
Quand on imagine ce qui faudrait changer pour que les choses s'améliorent, essentiellement pour les plus touchés par ces crises, on peut avoir l'impression que c'est impossible.
Et, pourtant si. Il est possible de redonner aux gens les moyens de vivre décemment, d'avoir un boulot intéressant et de pouvoir se cultiver et se distraire sans avoir besoin d'être riche pour cela. C'est tout le sens des « jours heureux ».
Rien que pour bousculer toutes les combines qui font polémique pour ne pas parler de cela, ça vaut vraiment le coup d'accélérer cette campagne du bon sens et de l'espoir de mon camarade Fabien.
Sans hargne et méchanceté pour qui que ce soit, mais avec la fermeté qu'il faut pour dénoncer les postures qui relaient l'entreprise de destruction de notre République solidaire sérieusement menacée par l'extrême droite et un certain monde des affaires qui la soutient ouvertement, on continue.
Yvon Huet
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