Les classes dominantes veulent la guerre et la précarité pour le plus grand nombre, à n'importe quel prix, fut-il au risque de faire sauter la planète.
Nous voulons la paix et le bien-être pour le plus grand nombre. Les Jours Heureux ne sont pas un mot d'ordre creux. Ils sont l'expression d'une volonté de sortir notre pays, et pas que, du mouroir dans lequel la classe des vrais riches veut maintenir les peuples.
Aujourd'hui sera un moment fort de cette volonté de ne pas se laisser faire. Plus qu'une révolte, une sortie du tunnel du fatalisme et de la soumission. Les syndicats rassemblent la diversité. Ils sont au cœur de la démocratie sociale et montrent leur incontournable utilité. Les partis de gauche en prendront la leçon, celle de ne plus jamais décevoir quand ils sont au pouvoir, ce que certains ont malheureusement fait en permettant à l'extrême droite de s'installer au cœur de nos institutions – par leur laxisme complaisant face aux revendications des riches.
La tradition révolutionnaire française reprend du service. Elle a su faire reculer les riches hier. Elle le peut encore aujourd'hui. Qui s'en plaindra ?
Yvon Huet
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