Le Collectif Droit des Femmes 66 se mobilise une nouvelle fois pour Vanezza Mendoza Cortès, présidente de l’association « Stop Violences » en Andorre. Cette dernière est poursuivie pour avoir défendu les droits des femmes à disposer de leur corps et avoir donc critiqué l’interdiction totale de l’avortement en Andorre lors d’une session organisée par le « Comité des Nations unies pour l’élimination de la discrimination » en 2019.