Depuis plusieurs semaines, l'inquiétude monte parmi les salariés de l'ACAL.
Face au manque de visibilité budgétaire, les salariés de l'association craignent une baisse de la dotation de l'état concernant l'accueil des migrants notamment les Ukrainiens et Ukrainiennes qui ont quitté leur pays à cause de la guerre.
La conséquence serait la suppression de 20 emplois et la mise en danger de 500 hébergements d'urgence (300 sur les centre d'Argelès et Alénya + 200 hébergements hôtel).